JEAN-CHRISTIAN MICHEL REQUIEM

REQUIEM

All compositions and arrangements by Jean-Christian Michel.

Jean-Christian MICHEL, clarinette ; Monique THUS, orgue et claviers

Avec Requiem Jean Christian Michel obtient un phénoménal succès. La jeunesse alors en proie à un malaise existentiel, lance dans la rue son appel à la vie. Mais le soir, ces mêmes révoltés envahissent les églises pour écouter ce compositeur mystérieux dont le message semble les fasciner...

C'est une musique totalement inédite, envoûtante mais éclatante de couleurs et troublante de vie, qui se répercute dans le silence énigmatique des cathédrales. La clarinette densifie l'énergie du lieu, exulte, murmure, pleure ou se tait. Elle révèle en son cri déchirant un ailleurs que le public découvre avec engouement.

La tête entre les mains et les yeux fermés, l'assistance écoute dans une attitude de méditation la musique sacrée du clarinettiste. Il officie là-haut à la tribune de l'orgue, et la foule n'aperçoit que son ombre projetée sur les vitraux. Car il n'y a rien à voir - aucun spectacle - seulement de la musique, du silence et du recueillement. Les auditeurs retiennent leur souffle, s'empêchent de tousser, plongés dans un recueillement profond...

Premier à faire admettre dans les églises une musique autre que strictement religieuse, propulsant la musique sacrée à la une de l'actualité, Jean Christian Michel a suscité les réactions les plus passionnelles, ne laissant personne indifférent.

REQUIEM

Jean-Christian Michel's flagship album.    

With Requiem Jean Christian Michel obtains a phenomenal success. The youth, then in the grip of an existential malaise, launches in the street its call to life. But in the evening, these same rebels invade the churches to listen to this mysterious composer whose message seems to fascinate them ...

It is completely new music, bewitching but bursting with color and disturbing with life, which reverberates in the enigmatic silence of the cathedrals. The clarinet densifies the energy of the place, exults, whispers, cries or is silent. She reveals in her heart-rending cry an elsewhere that the public discovers with enthusiasm.

With their heads in their hands and eyes closed, the audience listens in an attitude of meditation to the sacred music of the clarinetist. He officiates up there in the organ gallery, and the crowd sees only his shadow cast on the stained-glass windows. Because there is nothing to see - no spectacle - only music, silence and meditation. The listeners hold their breath, prevent themselves from coughing, immersed in deep recollection ...

The first to admit music other than strictly religious to churches, propelling sacred music to the headlines, Jean Christian Michel aroused the most passionate reactions, leaving no one indifferent.

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