La clarinette fait partie de la section des bois dans l'orchestre symphonique, avec la flûte, le hautbois, et le basson. Elle peut aussi jouer en solo ou en petit ensemble, comme dans le quintette avec clarinette de Mozart. Dans l'Orchestre de Jazz La Clarinette joue en contrepoint ou en soliste. L'Orchestration de Jean-Christian Michel utilise clarinette, orgue, synthétiseur, basse et percussions. Un orchestre désigne un ensemble d'instruments de musique, associés et appariés pour l'exécution d'une œuvre musicale. L'orchestre se divise en trois familles : les "vents" les "percussions" et les "cordes", les vents eux-mêmes subdivisés en pupitres des "bois" et des "cuivres". La clarinette s'inscrit comme instrument d'orchestre ou soliste comme membre de la famille des vents et au pupitre des bois L'orchestration désigne la répartition et l'instrumentation des diverses lignes mélodiques d'une œuvre dans différentes familles et pupitres d'instruments de l'orchestre.
Dès son apparition au début du 18e siècle, un nouvel instrument de musique, la clarinette fait son apparition, qui intéresse de nombreux compositeurs de musique classique. C’est ainsi que dès 1716 Vivaldi l'emploie pour doubler ses hautbois. Haendel compose une ouverture pour deux clarinettes et cor. Il est à regretter que Jean-Sébastien Bach n’ait pas connu et pu exploiter ce magnifique instrument. Dans la musique de la période classique, et dans la musique symphonique, la clarinette se fond dans l'orchestre, et prend place au pupitre des bois, à côté des flûtes, des hautbois et des bassons. Une à deux clarinettes sopranos en sib y sont presque toujours présentes, souvent complétées par une clarinette en la ou une clarinette basse, mais pratiquement tous les instruments de la famille des clarinettes peut selon le cas y trouver place. Cependant, appréciant les capacités expressives de l'instrument, de nombreux compositeurs vont vite adopter la clarinette comme instrument soliste.
En effet, la clarinette s'impose facilement comme instrument concertant, de par l'étendue de sa tessiture, l'éclat de son timbre, le velouté de son registre grave, ou sa plage de dynamique unique permettant au clarinettiste de transcrire les nuances les plus subtiles. Parmi les très nombreux compositeurs qui ont élevé la clarinette au rang d'instrument soliste, on retiendra les noms de : Rameau, Molter, Stamitz et Fuchs. L’apogée de l’art semble avoir été atteint avec les Quintettes de clarinette de Mozart et surtout son Concerto pour clarinette en la majeur KV 622. Puis le nombre de compositeurs, toutes écoles confondues, faisant appel à la clarinette se multiplie : Spohr, Yost ; Haydn, Beethoven puis Liszt ; Weber (ce compositeur romantique qui est une "référence clarinette" par la vertu de son "concerto de clarinette", sacrifie la profondeur à une sorte d'étalage technique) ; Schuman, Strauss, Berg, Mendelssohn, Debussy, Brahms, Massenet, Berlioz, Schönberg, Copland, Draeseke, Reger, Hindesmith, Poulenc, Bernstein, d'Indy, Saint-saens, Nielsen, Françaix… Au XXème siècle, la clarinette solo sans accompagnement devient l'apanage de beaucoup de grand compositeurs, dont Stravinsky, Sistermeister et Berio. La clarinette basse est très appréciée comme soliste dans le jazz et la musique contemporaine.
L'orchestre de musique de chambre est une formation de taille réduite, structuré autour d'un quatuor ou quintette à cordes, et comprenant un maximum d'une trentaine de musiciens regroupés en pupitres. ENSEMBLES À VENTS L’ensemble mixte de musique de chambre (instruments à vent et cordes), combine instruments à vent solistes avec quatuor à cordes. Dans la musique de chambre faisant appel à des instruments à vent, il n'y a aucune formation qui n'utilise pas la clarinette. Élément important du quintette à vent, la clarinette où elle vient étoffer la sonorité des violons, apportant sa touche de couleur à l'ensemble à cordes. Ainsi, dans le quintette à vents, une voix est réservée à la clarinette, deux, dans les septuors et les octuors. Mais il n'est pas rare de trouver un orchestre de chambre composé uniquement de clarinettes. Cette formation, ou ensemble de clarinettes, peut associer alors plusieurs clarinettes soprano, une clarinette alto, une clarinette basse, voire une clarinette contralto ou contrebasse. RÉPERTOIRE DE MUSIQUE DE CHAMBRE POUR CLARINETTE On retrouve en premier lieu dans les pièces de musique de chambre pour clarinette les quintettes pour piano et vents de Mozart. Dans les quintettes pour piano et vents de Beethoven, la clarinette s'impose de nouveau. Dans des ensembles mixtes plus étoffés, comme ses Septuors, ou l'Octuor de Schubert, la clarinette tient encore la place principale, partagée avec le premier violon. On retrouve la clarinette en musique de chambre dans les deux Concertstücke pour clarinette, cor de basset et piano de Mendelssohn (1832, 1833) ; dans les Fantasiestücke, pour clarinette et piano, de Robert Schumann (1849) ; dans le Quintette avec clarinette en Si mineur de Brahms (1891). Un ensemble contemporain de clarinettes comprend généralement, en plus de la clarinette en si bémol, une clarinette cor de basset, une clarinette basse et éventuellement des saxophones. Les compositeurs modernes et contemporains exploitent la clarinette en musique de chambre dans les Quatre Pièces pour clarinette et piano de Berg (1913) ; dans Contrasts, pour violon, clarinette et piano, de Béla Bartók (1939) ; dans le Concerto pour clarinette, Fantasia on an Ostinato de Corigliano, (1964). Plus récent encore : Gilbert Amy avec Trio pour clarinette, violon et piano (1985) ; Magnus Lindberg dans Duo concertante pour clarinette et violoncelle (1992) ; Penderecki, dans Quatuor avec clarinette (1993) ; Denisow (1929-1996), dans Quintette avec clarinette et Concerto pour clarinette et orchestre. Dans son "Quatuor pour la fin des temps", Messiaen met encore la clarinette à la première place.
L'orchestre symphonique, comprend trois familles : les "vents", les "cordes" et les "percussions". Les vents se subdivisent à leur tour en 2 pupitres : les "bois" et les "cuivres". RÉPERTOIRE DE CLARINETTE DANS L'ORCHESTRE SYMPHONIQUE Au début de XVIIIème siècle, la clarinette qui vient de naître au XVIIème siècle en 1690 n’est pas encore intégrée dans l'orchestre baroque. Il faudra attendre la fin des années 1700 au XVIIIème siècle pour qu'elle trouve place dans les premières formations symphoniques : Antonio Vivaldi l'utilise pourtant dès 1716, dans Juditha triumphans, ainsi que dans quelques concertos (concerto pour deux hautbois et deux clarinettes RV559 et ,RV 560). .Johann Stamitz compose en 1754 un concerto de clarinette en si bémol majeur, qui fait appel pour la première fois à toute la tessiture (plus de 3 octaves) de l'instrument d'alors. ENTRÉE DE LACLARINETTE DANS L'ORCHESTRE SYMPHONIQUE AU XVIIIème SIÈCLE C’est seulement avec Stamitz puis Mozart que l’instrument va faire son entrée dans l'orchestre au pupitre des bois. Mozart utilise souvent le cor de basset, comme dans son Requiem KV.626, composé en 1791, ou dans sa Sérénade KV 361 vers 1780 ; la clarinette la de basset dans son Opéra La Clémence de Titus en 1791 Et on ne peut qu'admirer son sublime concerto pour clarinette KV.622 composé spécialement pour cet instrument en 1791 quelques mois avant sa mort. TOUTE LA FAMILLE DES CLARINETTES FIGURE AU PUPITRE DES BOIS AU XIXème SIÈCLE Puis la clarinette prend une importance de plus en plus grande, la famille des clarinettes s'agrandit. L'orchestre rassemble alors plusieurs clarinettistes qui jouent sur des instruments dont le diapason va s'échelonner sur toute l'étendue de la gamme. La clarinette basse apparaît la première fois dans l'opéra "Les Huguenots de Giacomo Meyerbeer", créé le 29 février 1836 à l’Opéra de Paris. Puis c’est Beethoven qui met encore la clarinette à l'honneur au pupitre des bois, à côté des hautbois et les flûtes (Trios pour clarinette, violoncelle et piano 1798). L'orchestre symphonique va associer plusieurs clarinettes : une ou deux clarinettes en sib ou la ; une clarinette basse ; une petite clarinette en ut. La clarinette basse prend un rôle sans cesse plus conséquent. Chez beaucoup de compositeurs romantiques, la clarinette, à l’image du hautbois à la période baroque, devient l'instrument privilégié pour les passages tendres et sensibles. Dans l'orchestre classique de la période romantique, la clarinette souligne les parties expressives du chant de la musique d’opéra.. LA CLARINETTE DANS LA MUSIQUE MODERNE AU XXème SIÈCLE Certaines pièces modernes, comme par exemple la Symphonie fantastique de Berlioz crée le 5 décembre 1830 au conservatoire de Paris le Boléro de Ravel, composé en 1928 intègrent la petite clarinette en mib. De nombreux compositeurs exploitent la clarinette dans la musique dite "contemporaine", atonale ou expérimentale, pour l'originalité de son timbre, sa souplesse et l’étendue de son registre. La petite clarinette en la bémol (lab) est appréciée pour sa sonorité perçante. Le pupitre des bois, définit un groupe d'instruments à vent fonctionnant sur le principe du système excitateur pour la génération du son, combiné à un "tube résonateur" qui l'amplifie et permet de le moduler, en fonction de la longueur de la colonne d'air. Les bois comprennent deux familles, les anches et les flutes : Les instruments dont la colonne d'air est mise en vibration par un biseau, constituent la famille des flûtes. Les instruments dont le système excitateur est constitué par une lame vibrante, constituent la famille des anches, simples avec les chalumeaux, les clarinettes et les saxophones, et doubles avec les bassons, hautbois, cor anglais, etc. Les bois de l'orchestre symphonique font appel à deux clarinettes sopranos ou en la, selon la tonalité des morceaux ; une clarinette basse. Les hautbois incluent un hautbois piccolo, un à deux hautbois sopranos en ut, un hautbois d'amour en la, un cor anglais en fa, un hautbois baryton. Pour compléter le pupitre des bois, il faut ajouter les bassons, les flûtes, et le saxophone. DIFFÉRENCE ENTRE ORCHESTRE SYMPHONIQUE ET PHILHARMONIQUE Quelle différence entre un orchestre symphonique et un orchestre philharmonique ? Aucune ! L'orchestre philharmonique est simplement un orchestre symphonique qui a reçu le soutien d’une œuvre ou société philanthropique, voire orchestre symphonique qui a été fondé par une association de musiciens. Pas de différence de taille ni d'instrumentation !
Dans l'orchestre d'harmonie, appelé plus fréquemment harmonie de musique, la clarinette en sib (si bémol) se substitue carrément au violon de l'orchestre symphonique. On peut compter ainsi une bonne dizaine de clarinettes, réparties sur trois voix dans un orchestre de 50 musiciens ? Un ensemble de clarinettes regroupe un certain nombre de clarinettistes allant de 2 à 7. Il peut comprendre plusieurs instruments en sib mais peut aussi rassembler jusqu'à sept types d'instruments différents parmi les suivants : clarinette contrebasse sib. clarinette contralto mib, clarinette alto mib, clarinette basse sib, clarinette cor de basset, clarinette en la, clarinette soprano en sib, clarinette en ut, petite clarinette mib, petite clarinette piccolo lab...
L'orchestre de Jazz se distingue de l'orchestre classique essentiellement par le fait qu'il comprend une section rythmique et que le groupe, quelle que soit sa taille ou sa composition, va swinguer. L'improvisation collective est le plus souvent de mise. Les musiciens au lieu d'adopter le son droit et rigoureux de la musique classique recherchent l'expressivité par le travail du son. La clarinette est un instrument essentiel dans la musique de jazz, tant dans les petites fanfares des origines, que dans l'exploration moderne et contemporaine. Au cours du temps, l'orchestre de jazz s'est présenté sous la forme de : Jazz bands : King Oliver's Creole Jazz band, Armstrong Hot five, Hot Seven, Mezz Mezzrow And His Orchestra, Tommy Ladnier And His Orchestra, Trios : Sidney Bechet Trio, Mezz Mezzrow Trio ou Quartets (Benny Goodman Quartets : Clarinet Jazz Quartet, Guy Lafitte Quartet, Scott Hamilton Quartet, Claude Luter Quartet), Big bands (Fletcher Henderson, Count Basie, Chick Webb, Duke Ellington, Glenn Miller ou Benny Goodman). Au tout début, dans le jazz New Orleans et le jazz Dixieland, la clarinette dans le médium et l'aigu et le trombone dans le grave, brodent un contrepoint autour du thème exposé à la trompette. Ce contrepoint fait partie de l'improvisation collective. Bien entendu, la clarinette joue aussi en solo, dans ses somptueux chorus. Par la suite, mais dans une moindre mesure, on retrouvera encore la clarinette dans les Big Bands des années 30. Piano, banjo, guitare, soubassophone, tuba ou contrebasse et batterie assurent la section rythmique. La clarinette jazz a eu une influence considérable sur les jeunes générations de musiciens de la Nouvelle Orléans et de Chicago, avec des clarinettistes vedettes comme Artie Shaw, George Lewis, Johnny Dodds, Jimmy Noone, Mezz Mezzrow, Albert Nicholas, Barney Bigard, Woody Hermann et Sidney Bechet. Après une brève éclipse due à la montée en puissance du saxophone dans la deuxième moitié du XXème siècle, la clarinette a repris toutes ses lettres de noblesses dans l’actualité avec des clarinettistes comme Buddy De Franco, Jimmy GIiuffre, Tony Scott, Rolf Kùhn, Jan Garbarek, Michel Portal, Jean-Christian Michel, Eric Dolphy, Louis Sclavis. A CLARINETTE INSTRUMENT SOLISTE EN JAZZ Dans le jazz la clarinette s'exprime en solo dans les trios et quartets où son rôle prédomine, et dans les chorus de formations plus importantes, quintettes, sextettes ou grands orchestres, où elle improvise sur les harmonies du thème. On retrouve les Trios et Quartets de jazz. La clarinette le plus employée est la clarinette soprano en si bémol. Cependant La clarinette basse a pris une importance croissante depuis les années 70. INFLUENCE DU JAZZ SUR LA MUSIQUE CLASSIQUE Au début du XXème siècle, la musique de jazz conquiert le monde et prend une place prépondérante. La clarinette y tient une place importante et revient à la mode. Puis Jazz et classique vont interfèrer. La musique classique s'inspire souvent de la musique de jazz : Des grand compositeurs comme Bartok, Ansermet, Stravinsky, Gerschwin, Satie (dans Valse-ballet) se rapprochent du Jazz. (Chacun connaît "Summertime" ou le célèbre solo de clarinette de "Rhapsody in Blue" de George Gerschwin). Réciproquement, le jazz fait appel au classique, comme dans le crossover jazz-classique de John Lewis le jazz spatial de Jean-Christian Michel, grand précurseur lui aussi du rapprochement du jazz et de la musique classique.
UNE ALCHIMIE DE SONS NOUVEAUX POUR UNE ORCHESTRATION CONTEMPORAINE L'instrumentation n'est pas l'art le moins complexe de l'écriture musicale : comme les autres grands compositeurs, Jean-Christian Michel aime viscéralemnt ce matériau fondamental de la musique qu'est le son Jean-Christian Michel a fondu dans le creuset magique de sa musique, les timbres de la clarinette, celui du grand orgue à tuyaux, et ceux de nouveaux synthétiseurs, pour transmuter leurs vibrations en une véritable lumière sonore. Fusionnant des sons acoustiques réels vivants comme celui sensuel de la clarinette avec les résonances mystérieuses de l'orgue d'église et les incroyables ressources timbrales de la nouvelle technologie numérique, le grand compositeur inaugure une alchimie musicale d'une fascinante spiritualité. L'orchestration du compositeur associe à cette séduisante palette, une fine et efficace section rythmique qui souligne la pulsation naturelle de la musique. Jean-Christian Michel propose ainsi à sa musique, riche de tradition et de modernité, une orchestration novatrice, simple et efficace, répondant à des critères choisis avec une grande intelligence musicale.
LE SON DE LA CLARINETTE Mozart adulait la sonorité extraordinaire de la clarinette qu'il comparait volontiers à la voix humaine. Un son clair, net, distingué, s'élevant du grave chaleureux à l'aigu étincelant. Dans l'instrumentation du Jazz Spatial de Jean-Christian Michel, la clarinette, instrument soliste, jallit éclatante des résonances profondes de l'orgue. Le travail de la matière sonore, apanage des musiciens de jazz, avec son infinité d'effets et de nuances, accroît encore l'expressivité naturelle de l'instrument, et les inflexions poignantes que Jean-Christian Michel arrache à sa clarinette ne sont pas sans évoquer un long cri déchirant. "De la douceur sensible à l'irréalité presque imperceptiblement soufflée, Michel travaille ses sons, les fait frémir ou vibrer, diminuer ou éclater et a peu d'égaux dans cet art" - (Hamburger Abendblatt). LE SON ENVOÛTANT DE L'ORGUE D'ÉGLISE À TUYAUX L'orgue d'église à tuyaux représente un véritable orchestre à lui seul. L'éclat flamboyant de ses jeux et ses résonances profondes, pénètrent le corps. Ses flûtes chuchotantes susurrent de mystérieux messages... L'orgue d'église à tuyaux peut se prévaloir de sa remarquable offre timbrale. Mais ses sons "droits" ne permettent pas de nuance sensible ni un travail sonore. Par ailleurs, l'instrument n'exploite que des jeux de flûtes et d'anches, il lui manque d'autres gammes de timbres (comme ceux du piano ou de la guitare, par exemple). L'orgue numérique liturgique restitue le son échantillonné d'authentiques tuyaux d'orgue. Avec la réverbération naturelle de l'église, c'est presque à s'y méprendre ! Voila pourquoi Jean-Christian Michel s'est intéressé aux synthétiseurs de dernière génération. LE SON LIMPIDE DES SYNTHÉTISEURS
Les synthétiseurs, avec leurs nouveaux sons échantillonnés, apportent une multiplicité timbrale presque comparable à celle de l'orchestre classique. Il faut regretter toutefois que les sons virtuels ne soient pas encore aussi beaux que les timbres naturels. Mais le synthétiseur n'est encore qu'un bébé ! Cependant bien au delà de sa capacité à reproduire les instruments acoustiques traditionnels, le synthétiseur permet d'inventer des sons inouïs, plus magiques les uns que les autres, qui élargissent alors à l'infini sa merveilleuse palette musicale. CROSSOVER JAZZ-CLASSIQUE : LA PULSATION DU JAZZ DANS LA MUSIQUE SACRÉE Le "Jazz Spatial" de Jean-Christian Michel, en harmonisant sa structure harmonique complexe à la vitalité du jazz., projette sur l'avenir son éclat mystique et sensuel. Fusion du jazz noir afro-américain originel et de la musique sacrée des cathédrales, ce style à la fois novateur et intemporel resplendit à l'aube du XXI ème siècle. COHÉSION ET DENSITÉ MUSICALE D'UNE PETITE FORMATION Des concertistes de haut niveau jouant en Petite formation bénéficient d'une extraordinaire précision dans leur exécution. Les musiciens du groupe s'expriment alors avec une "densité" et une sensibilité suprême, rarement atteinte dans le grand orchestre. Ils délivrent une musique émouvante intense et communicative, à la chaude dimension humaine. ORCHESTRATION MAGISTRALE POUR UNE MUSIQUE QUI FAIT RÊVER "Fenêtre ouverte sur nous-mêmes, la musique de Jean-Christian Michel nous fait rêver. Faite d'âme et d'énergie, rehaussée par les échos d'une alchimie sonore inconnue, elle relie les profondeurs de l'être aux résonances de l'espace." La nouvelle technologie de musique assistée par ordinateur permet une orchestration impressionnante, riche et contemporaine : les portes d'une "musique immense" s'ouvrent désormais à Jean-Christian Michel : disposant de la puissance d'un orchestre philharmonique avec de grandes orgues numériques, de synthétiseurs aux limpidités spatiales, de chœurs virtuels restituant des centaines d'exécutants... La clarinette fondue au chœur des instruments en surgit avec son expressivité poignante de voix humaine. Basse, batterie et percussions, véritable usine à rythme, émettent en cadence leurs pulsations primitives qui tournent et pénètrent le corps de résonances physiques. Tous ces paramètres extrêmement actuels et originaux offrent au compositeur et clarinettiste Jean-Christian Michel le privilège rare de pouvoir condenser en une musique deux pôles antagoniques : l'intimité et l'immensité. Tant il est vrai que Jean-Christian Michel veut faire résonner dans l'intime de l'Homme l'écho de l'infini, et faire vibrer dans l'infinité des mondes l'écho infime de l'intimité de l'Homme". JV Kernel.
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